Aucun résumé n'est disponible pour cet article.
La première partie, intitulée les entreprises de l’économie sociale en question, interroge le cadre juridique et de gouvernance régissant les différentes familles de l’économie sociale, qu’il s’agisse des coopératives, des mutuelles, ou des associations. Ces formes d’organisation censées répondre aux insuffisances du marché sont-elles toujours pertinentes et représentent-elles toujours une alternative, dans un monde de plus en plus dominé par le modèle de la société anonyme et de la valeur actionnariale ? La question se pose tout particulièrement dans le secteur financier français, qui laisse une large place aux banques coopératives et aux mutuelles d’assurance. Elle intéresse aussi d’autres secteurs, très divers, comme la santé, l’agriculture ou le commerce, voire les associations et les fondations. Face aux risques de banalisation, comment préserver l’identité de ces organisations et moderniser leur gouvernance ?
La seconde partie évoque comme à l’accoutumée quelques grands dossiers de l’actualité financière à forts enjeux éthiques : le chantier du contrôle interne des sociétés, celui de la lutte contre le blanchiment, et celui de l’impact international des nouvelles fondations philanthropiques.
publication : mai 2007 449 pages